Ecoute : version 4 titre "A Propos..." - MoiJe 2011
Clip (2011)
"Paris" by Diice au Kibélé le 11 avril 2009
-A Paris je me suicide, je me meurs en solitaire, Tout seul, je manque d'air Etouffé par le poids des tuiles -Paris c'est ma ville, Comme un cordon alambiqué Je n'ère plus, pour me blinder Contre tes charmes, Paris la ville. -Je me cache tes lumières Les ressorts quand ça fait bien, Paris n'est plus, une fois éteint La Seine, rêve d'être rivière. -Paris, j'aborde tes quais, côté glacé Qui refroidit le sang d'un souvenir Si chaud, dans mes désirs
-Paris, j'aime pas tes fourmis Mais tes fourmillements Tes coups de nerfs, et le cheminement De la rage qui grandit -Paris j'aime que tu sourcilles, Quand je cligne, mon oeil en l'air Tous ces hasards que t'éparpilles Qui échappent aux terre-à-terre -Je t'ai erré, de fils en quartiers, De fontaines en marronniers, Paris ma ville, je t'ai aimé Même très bien rêvé -Quand tu pesais moins lourde Quand tu me ravissais encore Quand n'apparaissait pas encore ta graisse, Tes vergetures, ta peste, et tes foulures, différentes sur chaque fêlures.
-Des tours de clefs, bien trop tournés Qui montrent leur dos à la paix Paris ville parmi les villes Paris ou mille feux brillent - Tu portes en toi, Les sens obligatoires De la city, Si t'es servit, sert la city Brouille pour entrevoir, -Porte là dans tes pleurs, Comme on porte une fiancée Paris, jamais à moitié. Paris pardonne, quand on lui donne. -Paris s'éteindra un jour Bête immonde des picadors Hasta luego, défaut du sort Comme un fardeau, une tête de mort
-Quand on décroche, quand on s'éloigne, Tous les coups d'oeil sont capitale, Nom qui sonne mal, qui siffle chien On reconnaît la race des trop urbains -Comme cernés d'yeux contemporains Qui clignotent 100% blindés Par l'extase des préjugés Qui défigurent, qui se rassurent. -A paris, viendra la rencontre plus question d'encontre, Ses lumières aveugleront, tous ceux qui lui disent non. -Vivre Paris, c'est un travail Rien de bien naturel en sommes, savoir cerner le détail Ne pas recommencer Sodome -L'empêcher de se rapprocher, Des si beaux très vieux rochers Des déserts de paille, des champs de blés Que Paris n'enflamme pas le bûcher -Paris nous survivra Paris ma ville C'est délicat D'arrêter de me droguer de toi...
-"J'aime Paris car j'aime les gens, - dit-il élégamment - Ses bars pourris et ses légendes, Les gens s'entassent, et se la ramasse -Pertinent le clin d'oeil, affinée la rétine ! Explication d'orgueil Les noyades se déclinent. -Paris c'est ça, idées en tas En tas c'est sure le pied astral Lui fait de l'oeil, le partage ose L'important, Paris la rose, -La fraise Qu'on piétine aux marchés, Marché noir ou blanc clinique Où se mêlent fools, foules de flow antiques Lacs naturels, c'est pathétique -Paris s'rait africaine, idyllique mère de l'idée. Un peu de roots anti-haine Y'a pas mieux pour digérer. -Paris nous survivra Paris ma ville, C'est délicat D'arrêter de me droguer de toi...
S’il y a plus que de l’amitié, Je veux au moins le partager. Si vous avez accompagné Mes mains couchées sur le papier Ecrire une partie de nos vies Jouer les notes de nos nuits, Avec vous je veux chanter Autour d’un chant secret.
Si en nous, coule le même sang, Les mêmes rêves de nous quatre, enfants, Si ensemble, frères de serments Nous moissonnons le même froment, Mais demain, c’est bien aujourd’hui, Et l’amitié, c’est pour la vie, Dans mon cœur, dans ma forêt, Il pousse un champ secret.
Si nos souvenirs sont lointains, Ils sont si proches autour du vin, De nos verres et de nos pensées, De nos cœurs et de nos soirées, Mais je veux croire en l’avenir Et créer d’autres souvenirs, S’il le faut, toujours j’en serai Votre marchand secret.
Si la vie est dure parfois, Si les plaies n’ se cicatrisent pas, Tant que Dieu nous réunira, Ensemble autour d’un même repas, Je chérirai cette vie prospère Avec vous comme amis sincères Avec vous partout j’irai Et même à champsecret.
A l' ennui des jours gris , Aux chaleurs de l' esprit , Succèdent les nuits blanches , M' inspirant quand je flanche . Aux sourires charmeurs , L' accoutumée tiédeur, A la fraicheur du soir , Le même avenir noir .
Ainsi Monotonie , Vient régenter nos vies , Car sans terre et sans pluie , Jamais on ne survit . Oui tout seul on est rien , Tout seul on se sent chien ; Frappé , abandonné , Et ne pouvant parler .
Alors viens je t' invite , Dans mon moi , dans mon gîte , Car moi je t' ai compris Et fait le parapluie , Car pour longtemps encore , Pour moi tu seras or , Car je suis la moitié , Qui peut le mieux t' aimer ...
Al tiempo de nuestros primeros pasos como si la paz no existia ya el mundo estaba en guerra despues de ser vivo regresaba a la tierra
luego el hombre caminó en todos lados la tierra ha poblado enseñó los caminos a sus hijos que olvidaran luego
There is a long time x2
llegamos a cultivar calles y concreto a elevar por un futuro mas seguro y feliz y por eso olvidamos crecer
La vida es un mercado una manzana y el futuro esta hecho pobre pecador el paraiso esta mas lejos Se va traer la fe de la duda solo
antes estaba tranquilo, estaba para creer no nos dolia cuando nos dejaba una mujer la naturaleza asi era hecha A las proximas ganas empezaria la fiesta
el futuro esta en la creación aunque el cambio nos de presion calmemos y tengamos en cuenta que el hombre es dios y que no hay pena
There is a long time There is a long time
A l'arrivee de nos premiers pas C'etait comme si la paix n'existait pas, deja le monde etait en guerre apres avoir été vivant il s'en retournait a la terre
Puis l'homme a bien marché Partout toute la terre il a peuplé Il a montré les directions A ses fils et ses freres qui plus tard l'oublieront
There is a long time
On en est venu a cultiver A batir des rues et des pavés Pour un futur plus sur et plus gai Et pour ca on a oublié d'évoluer
Petit de l'homme la vie est un marché Un cueille un pomme, et l'avenir s'en voit tracé Pauvre pecheur, la paradis devient trop loin et l'ainsi soit-il n'amene que la foi de l'incertain
Avant c t cool, y'avait tout a créer On avait pas les boules quand une femme nous quittait La nature etait ainsi faite Qu'a la prochaine envie, recommencerai la fete
L'avenir est dans la création Meme si le changement est notre prison Lachons du leste et prenons en compte Que l'homme est un dieu et qu'il n'y a pas de honte
J'en ai vu des beaux, j'en ai vu des dieux, A la izquierda j'en ai vu des veaux, et j'en ai vu des vieux A la izquierda j'ai vu des mondes différents de ceux de la izquierda de la izquierda J'ai vu des ondes pour bien heureux a la izquierda, a la izquierda
(Fait attention à la droiture à ma gauche, ne devient pas la droite un peu gauche)
J'ai cru en tes yeux, cru en tes voeux belle izquierda J'ai vu rouge quand l'espoir est bleu et toi izquierda ? j'ai vu le sang dont se sont servi ceux de la izquierda, pas la bonne izquierda J'ai vu les ondes pour bien heureux a la izquierda, a la izquierda
Ca sent le confort, et ca l'pue fort ! a la izquierda Ca marche sur nos ayeux, et ca fait "Aye euhh" A la izquierda Les ans frappent a la porte de l'oubli de la izquierda, de la izquierda J'ai peur qu'on la révolutionne aussi notre izquierda, chere izquierda
On s'est vu ambidextre et on t'as pourri pauvre izquierda, Ils ont joué les maladroits, ils avaient tout compris de la izquierda Quitte a faire un choix, le peuple vous suivrait a la izquierda, a la izquierda P't'etre un jour il vous enterrera A sa izquirda, a sa izquierda
Quand a Cuba on s'echappait de l'ours de la izquierda Celui qui vous tenait par le pouce celui d'la izquierda A jouer zapatiste, on finit séparatiste a la izquierda de la izquierda on traine les fantômes de précédents autistes de la izquierda, de la izquierda
J'ai foi en mon fond quand j'ai le front qui sue pour la izquierda la victoire rêveuse qui n'est pas encore venue de la izquierda Renouer le sens avec le fond, de la izquierda, de la izquierda et sentir qu'au fond il n'y a plus que ca la izquierda, la izquierda
Y'a de l'appui dans la culture Plus d'amis que partout ca c sure des histoires sans placards De celles qui vous font veiller tard
A la fin elles serpentent dans nos têtes Sauf si on a pas le temps, juste celui d'être bête On choisi l'air, on choisi le vent On a pas le choix, c'est sur c'est violent !
On grandit de l'âme par la culture On apprend a vivre nos sépultures On surplombe les peurs et les ennemis On apprends surtout d'où vient l'envie
y'a de la rencontre dans les livres y'a des questions qui y survivent Comme une espèce de Gymnastique Surtout quand on y participe
Y'a de la passion dans la culture Comme un truc qui brule, une conjoncture Un feu qui demande toujours plus de bois Un cri incessant qui créé l'émoi
Y'a pas de doute y'a pas qu'dans l'art qu'on peut trouver cet or en barre Tous les jours, partout la curiosité règne qui sait un jour, l'avènement de son règne!
Y'a pas a dire, c pourtant simple la culture Même que ca rime avec bouture de racines en branche, elle s'éparpille A qui veut la prendre, la fleur scintille
La culture est un appui A qui veut comprendre ce qu'est la vie A mieux choisir son rôle Ou pour que vivre soit plus drôle.
Je pourrai en faire des tas sur la culture Elle est partout, sauf dans le parjure Dans tous les mots y'a du sens positif Quand on sait le sens, on est plus réactif
Et c'est le bien de n'importe qui Que de pouvoir se voir grandit Et ainsi de partager son savoir empilé Avec ceux qui voient en gris, les mal aimés
Y'a de l'appui dans la culture Plus d'amis que partout ca c sure des histoires sans placards De celles qui vous font veiller tard
Elle vous aime plus que n'importe qui est toujours la, même dans notre lit Au dernier instant, elle s'acharnera Pour laisser sa trace, dans notre trace de karma.
Le silence est pesant en apesanteur il s'évapore rarement avec les vapeurs de la peur Il est froid et glace la sueur du front de défense Il est sage, et s'approche, se fout de l'apparence.
il est merveilleux quand la musique le balance Quand le rythme s'en habille en connaissance De cause en volonté on s'aperçoit seul en sa compagnie Savoir retomber, et faire sonner les mélodies
Il est la solitude de l'air, le non-dit du son Il est grand et a la fois il est un petit bond Il est sur de ne jamais être a la hauteur Souvent, il est sur d'être débordé par la peur
Il chante finalement comme un air qui refroidit Il réchauffe quand la tête ne dit plus oui Il explose quand le manque est plus grand que tout Et trop petit quand le bruit est trop grand et trop flou
Le silence est simple pourtant le silence est un temps qui passe sur un fil on dit de lui il désert de l'air absence du son solitaire affront et meurt ... pardon...
Le malheur qui se lève à l’heure où je m’endors Le monde qui part en vrille dans mon transistor Le béton, le bitume et un peu trop d’étages Le cocktail quotidien qui amène la rage Mon avenir est là au fond de ma bouteille J’ai bien des ambitions qui quelque part sommeillent Un jour je partirai en quête d’un ailleurs Je voudrais bien rêver ; le destin est railleur
De bitume et de sang De sanglots en bitures Destin évanescent Sans aucune aventure De sang et de bitume Tumeur de mon passé Du présent l’amertume Qui vient m’enlacer
A sec le cinq du mois. Il reste vingt-cinq jours Pour suivre la galère dans son sinueux parcours Déprime pour repas et calmants pour dormir Les huissiers au goûter. Comment ne pas vomir ? Mon avenir inscrit au fond du pack de bière Boire pour oublier chasse pas la misère Un jour je m’en irai pour un destin meilleur J’aimerais bien rêver ; le présent est railleur
De bitume et de sang De sanglots en bitures Destin évanescent Sans aucune aventure De sang et de bitume Tumeur de mon passé Du présent l’amertume Qui vient m’enlacer
Pourquoi pas en finir ce soir et à jamais Y’a plus rien qui m’attend. Je le sais désormais Ma femme s’est barrée et les mômes ont suivi Je regarde le verre où s’est noyée ma vie Il reste des regrets encore à la surface Souvenirs aigres-doux et j’ai perdu la face Demain je m’en irai en enfer ou ailleurs Plus la peine de rêver, y’aura rien de meilleur
De bitume et de sang De sanglots en bitures Destin évanescent Et tout ce que j’endure De sang et d’agonie Tumeur de l’avenir Y’a plus rien, c’est fini Alors autant mourir