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SlamDiice

11 août 2011

No Way for a Man


texte et musique : Diice

There are cups with empty space
They don't serve the life.
There are other ones full of faith
Which can show the path.

If You have one, share it To your brothers
Without cause there's no Way for a man.

There are some hearts without grace
Some hearts haven't got a reason
And there are some hearts with peace
who sing To others the passion

If You have one share it To your brothers
Without passion there's no Way for a man

No Way for a man without life
No Way for a man without love

Patience and expérience
Creation, imagination
Give me all to have knowledge
And don't roam on the edge

There are a few souls without force
They don't serve nothing
There are some pillars for world
They listen the rythm of things

If You are one of them, thank you for all
Without guide without others there's no Way for a man.

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25 juin 2011

Paris

Ecoute : version 4 titre "A Propos..." - MoiJe 2011

Clip (2011)


"Paris" by Diice au Kibélé le 11 avril 2009
   

-A Paris je me suicide,
je me meurs en solitaire,
Tout seul, je manque d'air
Etouffé par le poids des tuiles
-Paris c'est ma ville,
Comme un cordon alambiqué
Je n'ère plus, pour me blinder
Contre tes charmes, Paris la ville.
-Je me cache tes lumières
Les ressorts quand ça fait bien,
Paris n'est plus, une fois éteint
La Seine, rêve d'être rivière.
-Paris, j'aborde tes quais,
côté glacé Qui refroidit
le sang d'un souvenir
Si chaud, dans mes désirs

-Paris, j'aime pas tes fourmis
Mais tes fourmillements
Tes coups de nerfs, et le cheminement
De la rage qui grandit
-Paris j'aime que tu sourcilles,
Quand je cligne, mon oeil en l'air
Tous ces hasards que t'éparpilles
Qui échappent aux terre-à-terre
-Je t'ai erré, de fils en quartiers,
De fontaines en marronniers,
Paris ma ville, je t'ai aimé
Même très bien rêvé
-Quand tu pesais moins lourde Quand tu me ravissais encore
Quand n'apparaissait pas encore ta graisse,
Tes vergetures, ta peste, et tes foulures,
différentes sur chaque fêlures.

-Des tours de clefs, bien trop tournés
Qui montrent leur dos à la paix
Paris ville parmi les villes
Paris ou mille feux brillent
- Tu portes en toi,
Les sens obligatoires De la city,
Si t'es servit, sert la city
Brouille pour entrevoir,
-Porte là dans tes pleurs,
Comme on porte une fiancée
Paris, jamais à moitié.
Paris pardonne, quand on lui donne.
-Paris s'éteindra un jour
Bête immonde des picadors
Hasta luego, défaut du sort
Comme un fardeau, une tête de mort

-Quand on décroche, quand on s'éloigne,
Tous les coups d'oeil sont capitale,
Nom qui sonne mal, qui siffle chien
On reconnaît la race des trop urbains
-Comme cernés d'yeux contemporains
Qui clignotent 100% blindés
Par l'extase des préjugés
Qui défigurent, qui se rassurent.
-A paris, viendra la rencontre
plus question d'encontre,
Ses lumières aveugleront,
tous ceux qui lui disent non.
-Vivre Paris, c'est un travail
Rien de bien naturel en sommes,
savoir cerner le détail
Ne pas recommencer Sodome
-L'empêcher de se rapprocher,
Des si beaux très vieux rochers
Des déserts de paille, des champs de blés
Que Paris n'enflamme pas le bûcher
-Paris nous survivra
Paris ma ville
C'est délicat
D'arrêter de me droguer de toi...

-"J'aime Paris car j'aime les gens,
- dit-il élégamment -
Ses bars pourris et ses légendes,
Les gens s'entassent, et se la ramasse
-Pertinent le clin d'oeil,
affinée la rétine !
Explication d'orgueil
Les noyades se déclinent.
-Paris c'est ça, idées en tas
En tas c'est sure le pied astral
Lui fait de l'oeil, le partage ose
L'important, Paris la rose,
-La fraise Qu'on piétine aux marchés,
Marché noir ou blanc clinique
Où se mêlent fools, foules de flow antiques
Lacs naturels, c'est pathétique
-Paris s'rait africaine,
idyllique mère de l'idée.
Un peu de roots anti-haine
Y'a pas mieux pour digérer.
-Paris nous survivra
Paris ma ville,
C'est délicat
D'arrêter de me droguer de toi...

3 mai 2010

Chant Secret


texte de Cameleon / Musique Diice

S’il y a plus que de l’amitié,
Je veux au moins le partager.
Si vous avez accompagné
Mes mains couchées sur le papier
Ecrire une partie de nos vies
Jouer les notes de nos nuits,
Avec vous je veux chanter
Autour d’un chant secret.

Si en nous, coule le même sang,
Les mêmes rêves de nous quatre, enfants,
Si ensemble, frères de serments
Nous moissonnons le même froment,
Mais demain, c’est bien aujourd’hui,
Et l’amitié, c’est pour la vie,
Dans mon cœur, dans ma forêt,
Il pousse un champ secret.

Si nos souvenirs sont lointains,
Ils sont si proches autour du vin,
De nos verres et de nos pensées,
De nos cœurs et de nos soirées,
Mais je veux croire en l’avenir
Et créer d’autres souvenirs,
S’il le faut, toujours j’en serai
Votre marchand secret.

Si la vie est dure parfois,
Si les plaies n’ se cicatrisent pas,
Tant que Dieu nous réunira,
Ensemble autour d’un même repas,
Je chérirai cette vie prospère
Avec vous comme amis sincères
Avec vous partout j’irai
Et même à champsecret.

3 mai 2010

Choix N°1


texte de Cameleon / Musique Diice

A l' ennui des jours gris ,
Aux chaleurs de l' esprit ,
Succèdent les nuits blanches ,
M' inspirant quand je flanche .
Aux sourires charmeurs ,
L' accoutumée tiédeur,
A la fraicheur du soir ,
Le même avenir noir .

Ainsi Monotonie ,
Vient régenter nos vies ,
Car sans terre et sans pluie ,
Jamais on ne survit .
Oui tout seul on est rien ,
Tout seul on se sent chien ;
Frappé , abandonné ,
Et ne pouvant parler .

Alors viens je t' invite ,
Dans mon moi , dans mon gîte ,
Car moi je t' ai compris
Et fait le parapluie ,
Car pour longtemps encore ,
Pour moi tu seras or ,
Car je suis la moitié ,
Qui peut le mieux t' aimer ...

3 avril 2010

Gros Plan sur tes Yeux


texte de FredOueb / Musique Diice

"Silence, on tourne... Moteur. Action !"

I
Plan général : La nuit, l'horizon,
L'océan qui balance ses vagues,
Avec une douce inclinaison
De leurs creux et crêtes qui divaguent.

Travelling : Un petit port breton,
Au creux d'une profonde ria.
Des bateaux amarrés aux pontons,
Un voilier, puis un nom : Victoria.

Zoom avant au pied du sémaphore,
Sur un visage éclairé de vert
Intermittent. Zoom avant encore,
Jusqu'au gros plan sur ses yeux ouverts...

(Refrain)
Gros plan sur ton regard
Que de chaudes larmes noient.
L'écran devient brouillard
Puis sur lui-même tournoie.

Gros plan sur ton regard
Qui semble fixer le vide.
L'écran devient brouillard,
Puis s'éclaircit, devient limpide.

II
Fondu enchaîné sur une plage :
L'océan vient de se retirer ;
Du sable mouillé, des coquillages
Qu'un goéland gris vient picorer.

Travelling avant sur tes cheveux
Qui viennent caresser tes épaules,
Ton cou, puis ta joue rouge de feu
Qu'une main, délicatement, frôle.

Zoom avant sur tes lèvres ardentes
Qui s'entrouvr'nt imperceptiblement.
Une bouche attisée mais prudente
S'en approche, irrésistiblement...

- Au refrain -

III
Cut. Gros plan sur tes yeux qui se ferment,
Chassant une larme sur ta joue.
Cut. Gros plan : Ta main qui se referme
Sur une photo déchirée. Flou.

"COUPEZ"

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12 février 2010

There is a long time


texte et musique : Diice

There is a long time
hace mucho tiempo

Al tiempo de nuestros primeros pasos
como si la paz no existia
ya el mundo estaba en guerra
despues de ser vivo regresaba a la tierra

luego el hombre caminó
en todos lados la tierra ha poblado
enseñó los caminos
a sus hijos que olvidaran luego

There is a long time x2

llegamos a cultivar
calles y concreto a elevar
por un futuro mas seguro y feliz
y por eso olvidamos crecer

La vida es un mercado
una manzana y el futuro esta hecho
pobre pecador el paraiso esta mas lejos
Se va traer la fe de la duda solo

antes estaba tranquilo, estaba para creer
no nos dolia cuando nos dejaba una mujer
la naturaleza asi era hecha
A las proximas ganas empezaria la fiesta

el futuro esta en la creación
aunque el cambio nos de presion
calmemos y tengamos en cuenta
que el hombre es dios y que no hay pena

There is a long time
There is a long time

A l'arrivee de nos premiers pas
C'etait comme si la paix n'existait pas,
deja le monde etait en guerre
apres avoir été vivant il s'en retournait a la terre

Puis l'homme a bien marché
Partout toute la terre il a peuplé
Il a montré les directions
A ses fils et ses freres qui plus tard l'oublieront

There is a long time

On en est venu a cultiver
A batir des rues et des pavés
Pour un futur plus sur et plus gai
Et pour ca on a oublié d'évoluer

Petit de l'homme la vie est un marché
Un cueille un pomme, et l'avenir s'en voit tracé
Pauvre pecheur, la paradis devient trop loin
et l'ainsi soit-il n'amene que la foi de l'incertain

Avant c t cool, y'avait tout a créer
On avait pas les boules quand une femme nous quittait
La nature etait ainsi faite
Qu'a la prochaine envie, recommencerai la fete

L'avenir est dans la création
Meme si le changement est notre prison
Lachons du leste et prenons en compte
Que l'homme est un dieu et qu'il n'y a pas de honte

There is a long time

5 février 2010

La Izquierda

J'en ai vu des beaux, j'en ai vu des dieux,
A la izquierda
j'en ai vu des veaux, et j'en ai vu des vieux
A la izquierda
j'ai vu des mondes différents de ceux
de la izquierda de la izquierda
J'ai vu des ondes pour bien heureux
a la izquierda, a la izquierda

(Fait attention à la droiture à ma gauche,
ne devient pas la droite un peu gauche)

J'ai cru en tes yeux, cru en tes voeux
belle izquierda
J'ai vu rouge quand l'espoir est bleu
et toi izquierda ?
j'ai vu le sang dont se sont servi ceux
de la izquierda, pas la bonne izquierda
J'ai vu les ondes pour bien heureux
a la izquierda, a la izquierda

Ca sent le confort, et ca l'pue fort !
a la izquierda
Ca marche sur nos ayeux, et ca fait "Aye euhh"
A la izquierda
Les ans frappent a la porte de l'oubli
de la izquierda, de la izquierda
J'ai peur qu'on la révolutionne aussi
notre izquierda, chere izquierda

On s'est vu ambidextre et on t'as pourri
pauvre izquierda,
Ils ont joué les maladroits, ils avaient tout compris
de la izquierda
Quitte a faire un choix, le peuple vous suivrait
a la izquierda, a la izquierda
P't'etre un jour il vous enterrera
A sa izquirda, a sa izquierda

Quand a Cuba on s'echappait de l'ours
de la izquierda
Celui qui vous tenait par le pouce
celui d'la izquierda
A jouer zapatiste, on finit séparatiste
a la izquierda de la izquierda
on traine les fantômes de précédents autistes
de la izquierda, de la izquierda

J'ai foi en mon fond quand j'ai le front qui sue
pour la izquierda
la victoire rêveuse qui n'est pas encore venue
de la izquierda
Renouer le sens avec le fond,
de la izquierda, de la izquierda
et sentir qu'au fond il n'y a plus que ca
la izquierda, la izquierda

31 janvier 2010

La Culture


Y'a de l'appui dans la culture
Plus d'amis que partout ca c sure
des histoires sans placards
De celles qui vous font veiller tard

A la fin elles serpentent dans nos têtes
Sauf si on a pas le temps, juste celui d'être bête
On choisi l'air, on choisi le vent
On a pas le choix, c'est sur c'est violent !

On grandit de l'âme par la culture
On apprend a vivre nos sépultures
On surplombe les peurs et les ennemis
On apprends surtout d'où vient l'envie

y'a de la rencontre dans les livres
y'a des questions qui y survivent
Comme une espèce de Gymnastique
Surtout quand on y participe

Y'a de la passion dans la culture
Comme un truc qui brule, une conjoncture
Un feu qui demande toujours plus de bois
Un cri incessant qui créé l'émoi

Y'a pas de doute y'a pas qu'dans l'art
qu'on peut trouver cet or en barre
Tous les jours, partout la curiosité règne
qui sait un jour, l'avènement de son règne!

Y'a pas a dire, c pourtant simple la culture
Même que ca rime avec bouture
de racines en branche, elle s'éparpille
A qui veut la prendre, la fleur scintille

La culture est un appui
A qui veut comprendre ce qu'est la vie
A mieux choisir son rôle
Ou pour que vivre soit plus drôle.

Je pourrai en faire des tas sur la culture
Elle est partout, sauf dans le parjure
Dans tous les mots y'a du sens positif
Quand on sait le sens, on est plus réactif

Et c'est le bien de n'importe qui
Que de pouvoir se voir grandit
Et ainsi de partager son savoir empilé
Avec ceux qui voient en gris, les mal aimés

Y'a de l'appui dans la culture
Plus d'amis que partout ca c sure
des histoires sans placards
De celles qui vous font veiller tard

Elle vous aime plus que n'importe qui
est toujours la, même dans notre lit
Au dernier instant, elle s'acharnera
Pour laisser sa trace, dans notre trace de karma.

18 décembre 2009

Silence et puis s'en va...

Le silence est pesant en apesanteur
il s'évapore rarement avec les vapeurs de la peur
Il est froid et glace la sueur du front de défense
Il est sage, et s'approche, se fout de l'apparence.

il est merveilleux quand la musique le balance
Quand le rythme s'en habille en connaissance
De cause en volonté on s'aperçoit seul en sa compagnie
Savoir retomber, et faire sonner les mélodies

Il est la solitude de l'air, le non-dit du son
Il est grand et a la fois il est un petit bond
Il est sur de ne jamais être a la hauteur
Souvent, il est sur d'être débordé par la peur

Il chante finalement comme un air qui refroidit
Il réchauffe quand la tête ne dit plus oui
Il explose quand le manque est plus grand que tout
Et trop petit quand le bruit est trop grand et trop flou

Le silence est simple pourtant
le silence est un temps
qui passe sur un fil
on dit de lui il
désert de l'air
absence du son
solitaire
affront
et meurt

...
pardon...

10 décembre 2009

De bitume et de sang


texte de Dextercobalt / Musique Diice


Le malheur qui se lève à l’heure où je m’endors
Le monde qui part en vrille dans mon transistor
Le béton, le bitume et un peu trop d’étages
Le cocktail quotidien qui amène la rage
Mon avenir est là au fond de ma bouteille
J’ai bien des ambitions qui quelque part sommeillent
Un jour je partirai en quête d’un ailleurs
Je voudrais bien rêver ; le destin est railleur

De bitume et de sang
De sanglots en bitures
Destin évanescent
Sans aucune aventure
De sang et de bitume
Tumeur de mon passé
Du présent l’amertume
Qui vient m’enlacer

A sec le cinq du mois. Il reste vingt-cinq jours
Pour suivre la galère dans son sinueux parcours
Déprime pour repas et calmants pour dormir
Les huissiers au goûter. Comment ne pas vomir ?
Mon avenir inscrit au fond du pack de bière
Boire pour oublier chasse pas la misère
Un jour je m’en irai pour un destin meilleur
J’aimerais bien rêver ; le présent est railleur

De bitume et de sang
De sanglots en bitures
Destin évanescent
Sans aucune aventure
De sang et de bitume
Tumeur de mon passé
Du présent l’amertume
Qui vient m’enlacer

Pourquoi pas en finir ce soir et à jamais
Y’a plus rien qui m’attend. Je le sais désormais
Ma femme s’est barrée et les mômes ont suivi
Je regarde le verre où s’est noyée ma vie
Il reste des regrets encore à la surface
Souvenirs aigres-doux et j’ai perdu la face
Demain je m’en irai en enfer ou ailleurs
Plus la peine de rêver, y’aura rien de meilleur

De bitume et de sang
De sanglots en bitures
Destin évanescent
Et tout ce que j’endure
De sang et d’agonie
Tumeur de l’avenir
Y’a plus rien, c’est fini
Alors autant mourir

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